TorahCoach a vu le jour voici ans pour aider des personnes désireuses de se reconstruire, à une époque qui tend plutôt à priver d'équilibre.
Pourquoi « Torah » ? Parce que telle est l'essence même du monde, la vérité absolue que tout homme recherche d'instinct. Pourquoi « Coach » ? En référence au soutien psychologique et thérapeutique proposé.
TorahCoach c'est notamment :
Si vous aimez les publications du blog, allez bien plus loin dans la compréhension des notions qui y sont abordées grâce à nos livres.
Écrits dans un langage clair et agréable, contenant de nombreuses histoires et anecdotes, ils vous enrichiront.
Nos livres sont disponibles aux formats papier et/ou électronique.
Vous pouvez acheter la version électronique sur ces mêmes pages, ou utiliser le formulaire de contact pour commander la version papier (tarif dégressif !).
Toutes les souffrances ont un sens, quelles que soient les façons dont elles se manifestent. Tel est le postulat qui justifie toute thérapie. En fait, une thérapie vise à chercher du sens derrière un décor qui semble n'en avoir aucun.
Les méthodes thérapeutiques sont nombreuses. PNL (Programmation Neuro-Linguistique), hypnothérapie, thérapies humanistes, TCC (Thérapies Comportementales et Cognitives), art thérapie, sophrologie, et d'autres encore. Chacune a ses caractéristiques propres, pas forcément inconciliables, bien au contraire !
Pour notre part, nous proposons méthode analytique, proche de la psychanalyse donc.
Les enjeux en peu de mots ? Identifier les représentations symboliques qui, sans en avoir conscience, produisent des comportements, des réflexes, des pensées qui gâchent la vie. Poser des mots précis sur des sentiments flous. Établir des liens entre des facettes du vécu qui paraissaient de pas en avoir.
Au bout d'un voyage passionnant mais exigeant, voyage appelé « analyse », on atteint le but. Se comprendre en profondeur ou, pourrait-on aussi dire, se réconcilier avec soi-même, avec le soi en souffrance.
C'est un tel voyage que nous proposons. Une exploration où le choix du mot juste est essentiel, où les émotions sortent librement une fois la confiance établie. Des émotions mais aussi des tranches de vie, des rêves, des souvenirs enfouis qui se mettent peu à peu à raconter une histoire : la vôtre.
Le tout dans une ambiance certes studieuse mais détendue, dont les traits d'esprit ou l'humour ne sont jamais loins !
Nous travaillons en face à face ou bien à distance. Volontiers par téléphone, par visioconférence (plus rarement, car une méthode analytique demande de se relâcher pour mieux élaborer, ce qu'un écran peut gêner), voire même par échanges de mails au besoin.
Beaucoup d'efforts sont investis pour vous proposer du contenu varié, de qualité et... sans publicité !
En nous soutenant, vous contribuez à faire vivre ce blog.
Pour réinitialiser votre mot de passe, veuillez entrer votre mail
Veuillez remplir ces informations afin de créer votre compte
Veuillez entrer vos mail et mot de passe
Au travers de thèmes tels que la sensibilité d’autrui, l'amour ou la discorde, le couple dans l'union ou dans la tourmente, l'éducation et le monde de l'enfance, ce livre explore le rapport à autrui, aidant le lecteur à devenir moteur de la société dans laquelle il vit.
25€ ou ₪100
Format papier
483 pages
Notre génération dépérirait-elle socialement ? Elle peine à instaurer des relations solides qui d’ailleurs, à peine créées, annoncent déjà leur rupture prochaine.
De nos jours, le lien est pour le moins teinté de prudence, si n’est ce de réticence. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, le lien est teinté de distance.
À coup sûr, notre génération en est malade. Mais n’aurait-elle pas engendré sa propre souffrance ? À trop galvauder le lien, elle l’a appauvri. À trop négliger le temps propice à sa maturation, elle l’a fragilisé. Pour tout dire, elle l’a dénaturé.
Et en effet, peu parmi nous sont heureux de leur vie sociale. Nous aimerions plus d’engagement, plus de simplicité, plus de considération aussi. Car le lien d’aujourd’hui, qu’est-il finalement devenu ? Une imbrication de codes, de convenances, de marques d’hostilité irrationnelles et de non-dits, souvent délicats à interpréter.
Tout cela paraît bien complexe pour une interaction supposée être naturelle !
Avec beaucoup de perspicacité et d’humilité, ce livre et son auteur nous procurent un véritable enrichissement moral et intellectuel.
Je suis content que ce deuxième ouvrage voie le jour et je le recommande vivement, ce livre trouvera sa place dans chaque foyer juif.
Je ne puis que bénir l’auteur et toute sa famille, en leur souhaitant de pouvoir continuer à diffuser les vérités de notre sainte Thora.
Mon impression reste très positive, et il n’y a pour moi aucun doute que l’auteur de cet ouvrage témoigne d’une grande capacité d’analyse et de réflexion.
C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai parcouru l'extrait de ce livre que l'auteur a bien voulu m'adresser.
En effet, dans un langage accessible et agréable il a réussi à nous emmener dans les profondeurs des enseignements des H'ah'amim. Avec beaucoup de perspicacité et d'humilité, en apportant fidèlement ses sources, ce livre et son auteur nous procurent un véritable enrichissement moral et intellectuel. Il ne fait aucun doute que le travail fourni pour sa réalisation séduira le lecteur qui aura la chance de se plonger dans son étude.
Une petite note personnelle, je ressens comme un honneur d'avoir été sollicité pour ces quelques mots, alors que mon père zatsa''l avec préfacé avec joie le premier tome.
Je voudrais souhaiter à notre cher David beaucoup de réussite et du succès dans cette entreprise. Puisse Hashem lui apporter joie et satisfaction dans tout ce qu'il entreprend. Amen
Amicalement,
Rav Yakov Sitruk
Je viens par la présente recommander le tome II de l’ouvrage Et par elles, vous vivrez ! de David Benkoel.
Cet ouvrage, traitant de différents thèmes sur les relations avec autrui, rédigé de manière claire et accessible au plus grand nombre de lecteurs, ne fera que renforcer la Foi en Hachem et la perfection de soi.
Je suis content que ce deuxième ouvrage voie le jour et je le recommande vivement, ce livre trouvera sa place dans chaque foyer juif.
Je bénis par le mérite de Rabbi Haïm Pinto Zatsal l'auteur, qu'il ait le mérite de publier encore d’autres livres et d’en faire mériter le plus grand nombre des Bné Israël. Amen
Rav David 'Hanania Pinto
C’est avec grand plaisir que je donne mon approbation au très intéressant ouvrage ayant pour titre Et par elles, vous vivrez !
Et ce, pour deux raisons.
D’une part, plusieurs de mes proches élèves m’ont confié combien l’ouvrage précédent de l’auteur les avait aidés au quotidien, leur permettant de surmonter enfin les difficultés auxquelles ils étaient confrontés, grâce aux idées qui s’y trouvaient développées.
D’autre part, connaissant bien l’auteur de ce livre, je peux témoigner que le 'hessed est l’une de ses préoccupations majeures.
C’est pourquoi je ne puis que bénir l’auteur et toute sa famille, en leur souhaitant de pouvoir continuer à diffuser les vérités de notre sainte Thora et de se livrer de mieux en mieux au 'hessed, cette vertu qui les caractérise tant.
Enfin, D. fasse que cet ouvrage aide le lecteur à tisser avec autrui une relation de qualité, en premier lieu avec son conjoint et ses enfants.
Rav Azriel Cohen-Arazi
Je n’ai pas pu lire l’ouvrage dans son intégralité mais seulement des extraits, notamment une partie des exposés intitulés Apprendre à l’enfant à se maîtriser et Que signifie aimer ?
Mon impression reste très positive, et il n’y a pour moi aucun doute que l’auteur de cet ouvrage témoigne d’une grande capacité d’analyse et de réflexion.
Cet ouvrage comporte en outre des enseignements particulièrement intéressants et instructifs dans les domaines de l’éducation ainsi que du développement personnel.
Rav Avraham Taieb
Cliquez pour lire un extrait court
Il était un couple de villageois qui n’avait jamais eu d’enfants. Ils décidèrent de rendre visite à Rabbi Israël, le célèbre Maguid de Koznits, afin de lui confier leur peine.
Celui-ci les reçut et leur donna sa bénédiction.
Au bout de quelques mois, la femme tomba enceinte. Hélas, peu après l’accouchement son enfant tomba malade. Il s’affaiblit rapidement, au point que ses parents se mirent à craindre pour sa vie. La femme supplia son mari de retourner à Koznits. Là, Rabbi Israël assura à l’homme que le couple n’avait pas à s’inquiéter. Bientôt, avec l’aide de D.ieu, leur enfant guérirait.
Dans les jours qui suivirent, l’état de l’enfant se dégrada considérablement. Malgré les paroles apaisantes de Rabbi Israël, les parents étaient rongés par l’inquiétude. Jour et nuit, la mère restait au chevet du nouveau-né, assise sur une chaise. Quand il lui arrivait de s’assoupir, elle ne restait jamais endormie très longtemps. Malgré l’épuisement, elle le veillait avec tout le dévouement dont une mère est capable.
La voici qui émergeait justement d’un demi-sommeil, quand soudain elle sursauta. Devant elle se tenait un soldat en uniforme. Penché vers l’enfant, il était en train de verser le contenu d’une fiole dans sa bouche. La mère poussa un cri strident, au son duquel le soldat disparut comme par enchantement.
Alerté par le bruit, le père accourut dans la chambre. En avisant sa femme en état de choc, il s’employa à la calmer et à la rassurer. Quand elle fut en état de parler, elle lui révéla l’étrange apparition. Il l’écouta attentivement, ne sachant pas trop quoi penser de l’étrange récit.
Le lendemain matin, l’enfant se sentait mieux. Les jours suivants, son état ne cessa de s’améliorer jusqu’à la guérison complète.
Pourtant, un doute sourd jetait une ombre sur la joie des parents. La mère en particulier se sentait anxieuse. Elle ne cessait de penser au mystérieux soldat. Qui était-il : était-ce un sorcier, un fantôme, un démon ? Face au trouble persistant de son épouse, le mari se résolut à repartir pour Koznits.
Lorsque Rabbi Israël entendit toute l’histoire, il se contenta de rassurer le père de famille avec affabilité. Mais à peine avait-il pris congé que le visage de Rabbi Israël changea. Visiblement préoccupé, il appela son bedeau.
— Rends-toi au cimetière sans tarder. Emporte ma canne avec toi. Tu l’utiliseras pour taper sur la tombe que je vais t’indiquer. Tu diras alors à son occupant que j’aimerais le voir.
Le bedeau s’exécuta. Peu de temps après, un soldat en uniforme se présenta chez Rabbi Israël.
— Qui donc t’a nommé médecin des enfants ? demanda Rabbi Israël à brûle-pourpoint. N’es-tu pas soldat ?
— Je l’étais en effet, Rabbi. Laissez-moi vous raconter mon histoire.
Après mon enrôlement dans l’armée russe, je m’éloignai progressivement de mes racines juives. Bientôt, je devins semblable à mes camarades de régiment. Je parlais comme eux, je mangeais comme eux, je me comportais comme eux, grossièrement, sans retenue. Tout ce qui restait de mon judaïsme c’était mon nom, que j’avais tenu à conserver envers et contre tout.
Un soir où je patrouillais avec quelques camarades, nous croisâmes un Juif. Nous l’encerclâmes, le fouillâmes et tirâmes de sa poche soixante-quinze roubles. Après l’avoir dépouillé de son argent, non contents de notre méfait, nous commençâmes à le rouer de coup, ce qui nous fit beaucoup rire.
Puis nous redevînmes sérieux, devant le dilemme inévitable qui se posait à nous. Fallait-il laisser repartir cet homme ? Si notre commandant venait à apprendre l’incident, nous serions gravement sanctionnés. Nous ne pouvions courir ce risque et prîmes donc la décision de pendre le malheureux. Mais au moment de mettre notre sinistre plan à exécution, je sentis quelque chose s’éveiller en moi. Une sorte de gêne, une émotion, un écho lointain qui commençait à ébranler mon cœur. Mon âme juive semblait revivre. Et alors que mes camarades juraient et riaient face à mon pauvre frère qui se balançait au bout d’une corde, je me sentais bouleversé. Tout mon être rejetait l’acte horrible dont je venais juste de me rendre complice.
Sur le chemin de la caserne, mes camarades continuaient à plaisanter tapageusement. Je profitais d’un instant d’inattention pour leur fausser compagnie. En toute hâte, je retournai sur le lieu du crime et détachai ce Juif. J’essayai même de le ranimer, dans un élan d’humanité désespéré. À mon immense surprise, il vivait encore. En fouillant dans mes poches, je trouvai même ses soixante-quinze roubles — comment avais-je pu m’approprier cet argent de l’infamie ? — et les lui rendis.
Entre-temps, mes camarades étaient arrivés à la caserne. Lors de l’appel, mon absence fut aussitôt remarquée. Le commandant en demanda la raison à mes camarades. Ils ne surent quoi lui répondre. Afin de donner le change, ils se portèrent volontaires pour partir à ma recherche.
Pour ma part, j’étais resté sur place, intensément perturbé par les pensées contradictoires qui se déchaînaient en moi. Mes camarades ne tardèrent pas à me rejoindre. Ils s’aperçurent que le Juif que nous avions pendu n’était plus là et comprirent que je l’avais sauvé. Sans aucune pitié, ils se saisirent de moi et me pendirent à sa place, après quoi ils revinrent à la caserne et arguèrent que je devais sans doute avoir déserté lâchement.
Après ma mort, je comparus devant le Tribunal céleste. On ne savait pas quoi faire de moi. D’un côté, je ne pouvais pas être envoyé au Gan 'Eden car j’avais beaucoup fauté. De l’autre côté, je ne pouvais pas être envoyé au Guehinnom car j’avais sauvé la vie d’un Juif et l’avais même payé de ma propre vie.
Finalement, on me dit que j’aurais besoin de grands mérites avant de pouvoir entrer au Gan 'Eden. Pour les acquérir, on me renvoya ici-bas afin d’y soigner les enfants.
Cliquez pour télécharger un extrait complet